samedi 29 mai 2010

Camisole.



Et la c'est comme une claque dans la gueule, tu te rend compte que tous ce que j'ai fais jusqu'aujourd'hui c'est de la merde que j'ai toujours tous raté, que tous ce que j'aurais du réussir je l'ai foiré, que tous les bon souvenirs et moments passé avec certaine personne, sont effacé avec le temps, quand j'essaie de m'en souvenir je n'y arrive plus, y a plus rien qui me vient, je me torture l'esprit comme une folle, la posé entrain d'écouté Mozart dans ce salon qui n'est pas vraiment le mien, et puis je me dis que c'est pourtant pas si mal de ce souvenir de rien, comme sa je n'ai plus se sentiment de souffrance, y a plus rien, je ne vais pas mal mais je ne vais pas bien non plus, tu me comprend toi ? parce que la pour l'instant personne comprend, personne est la, je perd la tête un peu plus chaque jour et personne n'est capable de m'arrêter, enfin c'est comme si je me retrouvais dans ma tête face à rien, que tous ce qui me reste à faire c'est de crié fort le plus fort possible pour que quelqu'un puisse enfin comprendre que rien ne va plus.. enfin quelqu’un qui me comprenne vraiment.

vendredi 21 mai 2010

Little bastard.


Et si je ne dis rien, c’est que j’ai encore trop de substances usurpatrices dans le sang. Seul le vide dure encore ce soir, le calme plat. Je finis par penser que si tout ça, ma vie, n'a plus de sens, je l'aurais bien cherché. Puis finalement, je tourne le dos. Je préfère comme toujours prendre le chemin facile, oublier mais pas comme il le faut. Faudrait comprendre, que si je pleure si fort c'est pour ce vide qui m'envahis. Faudrait comprendre que si je crie si fort c'est que je ne comprenais pas que j'avais tord. Il aurait vraiment fallut que je me rende compte, de tout ça avant . Et de ses soirs là, le cul assis sur le rebord de ma fenêtre toujours aux alentours de quatre heures du matin. Se le dire tout bas entre les souffles de fumé pour voir ce que cela donne, en voilà un beau résumé. Les mots sont parfois trop forts, la réalité trop loin. Un ras le bol de regarder le spectacle se dérouler, un peu trop passives ou pensives. S'achèveront en silence, les mêmes questions que vous vous posez dépourvues de "pourquoi". Et j'y repense, je te croise souvent dans mes pensées, l'instant où tout cet amour que tu m'as toujours porter n’es plus ici, entre vous et moi. C'est pire que tout, pire que de ne pas avoir celui qu’on voulait, pire que ne pas trouver quelqu’un, quand tu là, tu le tiens entre tes doigt, il t’échappe l’instant d’un battement de coeur. J'en prends plein la gueule de toute manière, la beauté d'un couple, les choses qu’on à vécu, vécu avec lui. J'ai carrément mal au ventre de devoir avaler ce jolie monde de sourire magnifique, factice et finalement, fautif. Je veux plus tendre la joue, ni la main. Seulement voilà, ces mots là, je ne les éviterais pas. J'aime pas m'entendre me dire que j'ai tout gâché, qu'en posant mon cœur à plat, j'ai tout fait foiré. J'ai pourtant tenté l'impossible, soigner les coups, et puis les larmes. Ces dernières me sont restés entre les mains.

Dans le bleu de l'Absinthe.

« Trois moi de bonheur partagé. Des souvenirs désordonnés, et cette sensation au creux du ventre quand je les évoque, des sourires échangés..les reste de son odeur..l'hiver puis rien d’autre..mes mains posées sur sa peau..sa voix qui me rend folle..l'obscurité radieuse qui règne dans ma chambre quand je dors dans ses bras.. nos discussions interminables.. Le désir qui renaît aussitôt..l'oubli total de ce monde insignifiant, juste lui, juste moi, nos membres confondus...nos rires accordés..offrir mon cou à ses lèvres..allumer une cigarette qu'on fume à deux, ne plus rien désirer, ne plus rien redouter..l'imperfectible satiété du corps à corps..du cœur à cœur..bercé par la musique des mots d'amours..Délicieuse lassitude qui freine quelques instants l'enthousiasme de la passion..nos deux êtres gisent..en silence.. et exige uniquement d'être ensemble..et la seule pensé de son corps étendu dont le seul contact me brûle le peau et l'âme...non, je n'ai peur de rien quand je suis dans ses bras, de rien, je fais de mon souffle l'écho des battements de son cœur, de mon corps le reflet de son corps, et de sa jambe qui m'entoure une chaîne indéfectible..sa main abandonnée, déchaine en moi des passions disproportionnées.. Et je me dérobe par jeu, puis m'abandonne et retombe de haut..mes jambes ne me supporte plus, en finissant par noyer mes larmes dans ce monde pourrie. »